"Robot Boy" - Linkin Park parle du nouvel album

Article publié le 29/02/2012 - Source

Article original

Scan du magazine "RockSound Magazine" fait par LPAssociation.com

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Traduction

Linkin Park sont en train d’enregistrer le successeur de ’A Thousand Suns’ sorti en 2010.

Ce n’est pas électronique, mais c’est certainement digital. Entendu ?

 

Comment est l’environnement du studio pour le groupe à ce stade de votre carrière ?

Mike Shinoda : C’est génial, spécialement quand nous avons tout le contrôle du processus d’enregistrement. Personne d’autre n’est dans le studio avec nous excepté les techniciens et notre producteur. C’est un environnement beaucoup plus agréable pour nous maintenant ; très confortable et agréable. Au cours du temps nous avons fait l’effort de rester à terre et conscient qu’il y a toujours plus à apprendre sur la façon d’écrire une chanson. C’est une bonne atmosphère à présent.

 

Êtes-vous allé dans cet album avec beaucoup d’élan ?

Certainement. Nous avons écris pendant que nous étions en tournée pour ‘A Thousand Suns » et cela nous a massivement aidé. Si nous avons trop de temps d’arrêt nous obtenons la fatigue musculaire de façon créative. Je pense que nous avons réalisé l’impact qu’il y a eu sur le dernier album, donc nous avons fait un effort conscient pour continuer à faire de la musique pendant nos tournées.

 

L’enregistrement n’a-t-il pas encore pris forme ?

L’album n’est pas encore complètement concentré. Il y a beaucoup d’expérimentation toujours en cours que nous perfectionnons dans la personnalité de l’enregistrement, mais ce que nous avons jusqu’à présent est vraiment excitant pour nous. C’est aller de l’avant simultanément en étreignant aussi le passé. J’hésite à dire que comme certaines personnes pourraient entendre cela et pense que ça va sonner comme ‘Hybrid Theory’ – ce n’est pas le cas – mais il y a une énergie à ce que ce soit vraiment rafraîchissant. Le dernier disque était plus un disque concept, cela a exigé de l’attention et ralentir pour être avec, mais cet album a plus d’une ruée vers l’immédiat.

 

Au niveau du style, comment sonne-t-il ?

Avec ce disque les paroles sont moins portées sur l'orientation politique et il y a une direction plus personnelle derrière les mots. C'est un disque très dynamique jusqu'à présent et il y a beaucoup de couleur et de mouvement. Les chansons que nous avons pu recueillir jusqu'ici sont très différentes les unes des autres, en particulier avec les éléments digitals, et je dis ça délibérément, car nous ne sommes pas en train d'utiliser l'eletronique ou des échantillons. C'est quelque chose de différent, comme éditer les sons, boucles et atmospheres. Ces éléments définissent vraiment les chansons, même si je ne peux pas travailler sur la façon de les décrire, et tout se recolle ensemble.

 

Nous sommes actuellement au milieu d'une autre réunion entre le rock et les sphères électroniques. Allez-vous rester en avant sur cette courbe ?

Nous ne voulons clairement pas monter une tendance, même si c'est peut-être pas clair pour certaines personnes, nous avons beaucoup de conversations pour s'assurer que nous ne finissons pas par aller dans cette direction. Le groupe se rencontre chaque lundi pour déchirer et de reconstruire ce que nous avons fait la semaine précédante, chaque détail est étudié et remis, ce qui peut être fastidieux, mais cela fait partie de la façon dont nous écrivons. Cela nous empêche pas de vérifier.